Non. Ces pratiques ne présentent pas de danger lorsqu’elles sont pratiquées avec sérieux, c’est-à-dire tant qu’elles ne prétendent pas remplacer un suivi médical. Elles sont douces, respectueuses du corps et du rythme de chacun.ne, et viennent en complément, pour soutenir un mieux-être global et aider à réguler le stress, les tensions ou les émotions.

La kinésiologie et la sophrologie ne constituent ni une médecine ni une thérapie au sens médical du terme : elles n’établissent pas de diagnostic, ne prescrivent pas de traitement et n’encouragent jamais à interrompre un accompagnement médical en cours.

Il est néanmoins essentiel de choisir un.e professionnel.le certifié.e et formé.e.
Je vous explique comment reconnaître un.e praticien.ne sérieux.se dans cet article.

Non. Ces approches ne se substituent pas à un suivi médical.
Elles viennent en soutien, pour aider à réguler le stress, apaiser les tensions et renforcer votre équilibre émotionnel, en parallèle des soins prescrits par votre médecin.

Certaines mutuelles prennent en charge une partie des séances de kinésiologie ou de sophrologie.
Je vous invite à vérifier directement auprès de votre complémentaire santé les modalités de remboursement.

Aucune tenue particulière n’est exigée : l’essentiel est que vous soyez à l’aise et détendu.e pendant la séance.

Le test musculaire est l’outil central du kinésiologue. Il consiste à exercer une pression légère sur un muscle, généralement au niveau du bras, pour observer sa réaction : relâchement ou contraction. Rien de magique : ce geste permet simplement de repérer certaines tensions.